Estudiando francés y dejando correr a la imaginación....
J’étais sûre, c’était qu’un rêve, duquel je ne voulais jamais me réveiller.
Mais dans mon rêve, il a ouvert ses yeux verts noisette et il a pris ma main.
Il respirait, il vivait, et on s’en fichait pas mal du reste. Évidement il était
plus maigre, mais la force dans ses yeux radiait comme le premier jour où je l’avais
rencontré. Ses cheveux mi- longs tombaient sur ses épaules et ma déclaration d’amour
se déroulait comme prévue. ‘Tu m’as manqué tellement. Je me rappelle de notre
rencontre à la plage : c’était le coup de foudre, sans doute. Je suis
venue comme l’orage, je n’avais jamais aimé si fort et je voulais t’embrasser toujours.
La seule chose que je désirais faire c’était de détruire ton mur et d'entrer dans
ta vie. Et toi, tu as accepté et on est arrivés jusqu’ici. Je t’en prie, ne
pars pas, reste avec moi. Si tu fais ça, je te promets de jamais te laisser
parce que notre amour c’est mieux que le bonheur, mieux que la chance, mieux
que la vie même’.
Mais c’était un rêve ; la machine s’éteignit et comme ça, avec un
geste qu’on fait avec un seul doigt et qui prend un seul seconde, il était tout
parti, parti si loin. La douleur se propageait à toute vitesse et continuait à accélérer
quand elle s’approchait à mon cœur. J’ai eu du mal à accepter cette fin, ce
n’était pas juste. Je me suis levée et j’ai couru, j’courais rapidement sans arrête,
sans direction, la pluie tombant, et j’ai su en ce moment que c’était comme ça
que notre histoire allait finir.
Comentarios
Publicar un comentario